Avant de continuer notre petite promenade des commerces spadois, nous avons pensé suite à la triste actualité de la cessation des activités de la boucherie Guérès de recenser les boucheries qui ont existé après la guerre. Nous les avons répertoriées par rue. On constatera le changement important dans les habitudes de consommation et la disparition des nombreuses boucheries que l’on trouvait à Spa.
Rue de Renesse : Léon Hérode Rue Sauvenière : Ziant reprise par Mme Bronfort – Jérome remise à M. Félix ? – Boos puis chez Fraiture pour finir par M. Egyptien en face du magasin de volailles chez Devaux
Rue Entre-les-Ponts : chez Albert Lorent puis Serge Leeb– vers 1940, la boucherie charcuterie Pirnay fermera ses portes.
Rue du Marché : au numéro 34, chez Defaweux suivie par François Joseph
Rue Dagly : chez Sacré reprise par M. Servais
Rue Delhasse chez Lejeune-chez Lemmens (Joyeux Boucher)
Rue des Ecomines : chez Guérès de père en fils – au Cellier, chez Decerf en face chez Lange puis Bebronne Francois ?
Rue Schaltin : à côté du Monico, chez Faymonville – chez Thibaut Fr
Place du Monument : chez Hurlet Arsène
Place Verte : Gaspar père en fils – Wagener Jules, Wagener Georges père en fils, Francis puis Didier – Constant père , fils repris par M. Finck (père ,fils) – Chez Pironet Marcel reprise par M. Quoidbach– maison Lejeune/Wagener – chez Grégoire – Bihin Armand – Heynen – Bray Albert – Herman Charles laissant place à son frère le traiteur Pierre
Place de la Providence : chez Bihin Marcel reprise par M. Poncin J
Rue de Barisart trottoir de gauche: Misson Maurice reprise par M. Joseph Muls – chez Compère puis Gaspar puis Muls père et fils. Trottoir de droite : Baiwir Marie – Herman Henri
Au village de Creppe il y avait aussi la boucherie Wagener.
Un tout grand merci à mon équipe, M. et Mme Quoidbach, M. Thiry pour leur aide lors de cette recherche époustouflante quant à la quantité de boucheries…en espérant ne pas en avoir oublié.
Loulou Paës
Bouchers spadois
Cette photo moins habituelle de la façade arrière de l’abattoir communal nous rappelle l’activité importante des bouchers et charcutiers spadois avant les années 1950. L’abattoir a été construit en 1879 pour répondre à la demande de viande de plus en plus importante des nombreux hôtels et restaurants de la ville. Le bâtiment abrite actuellement le matériel du service des travaux et le réfectoire.
Au moment où l’on s’intéresse de plus en plus activement à la valeur « universelle » du patrimoine thermal de la ville de Spa, il ne faudrait pas oublier ce très beau bâtiment et la glacière exceptionnelle (classée) qu’il abrite.
Bonjour, je cherche à joindre un Pierre BIHIN demeurant à SPA.
Mon nom est Louis BIHIN de Bruxelles.
0496/709 636
Mon frère s’appelle également Pierre (Trappiste à Rochefort) et mon fils également (Horeca)
Merci !